En premier lieu parce que pour toute atteinte portée à Vincent, c’est le Christ qui est crucifié une nouvelle fois.
Car il faut bien avoir conscience que bien avant que ne soit appliquée le cas échéant la funeste décision du Docteur Sanchez, à savoir l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent, celui-ci est littéralement séquestré au CHU de Reims, privé en sus des soins appropriés de rééducation que son état de grand handicapé pauci relationnel justifie.
A ce titre il est victime de l’acharnement idéologique des sectes libertaires dont l’ADMD ( Association pour le droit de mourir dans la « dignité ») est l’instrument de propagande intensive avec, bien évidemment le concours des media institutionnels.