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Le 1er février prochain, le Sénat examinera en séance publique la proposition de loi visant à la constitutionnalisation du droit à l’IVG.
Le 24 novembre, profitant d’une niche parlementaire de la France Insoumise, l’Assemblée Nationale a voté à une large majorité le projet de loi visant à constitutionnaliser le droit à l’avortement en garantissant l’effectivité et l’égalité d’accès au droit à l’avortement.
Comme chaque année, le 28 septembre prochain, à l’occasion de la Journée mondiale du droit à l’avortement, une vaste campagne d’affichage étatique viendra promouvoir l’IVG comme l’expression la plus fondamentale de la liberté de la femme.
Alors que les plus grands promoteurs de l’avortement et de la culture de mort du monde entier affirmaient que le "progrès" et le sens de l’histoire ne sauraient remettre en cause ce qu’ils qualifi aient de "droits acquis" pour les femmes, les États-Unis viennent de démontrer que le vrai progrès réside dans la défense de la Vie !
Lors de la dernière séance de la mandature, et après un parcours législatif chaotique marqué par son opposition par le Sénat, la proposition de loi Gaillot prévoyant l’allongement du délai légal de l’IVG de 12 à 14 semaines de grossesse a finalement été adoptée hier par 135 voix contre 47.
Alors que la Marche pour la Vie a réuni ce dimanche des milliers de manifestants pour dénoncer la proposition de loi Gaillot tendant à allonger le délai légal de l’avortement de 12 à 14 semaines de grossesse, les slogans scandés haut et fort par la foule seraient-ils parvenus jusqu’aux oreilles des sénateurs ?
Alors que le Sénat examine ces jours-ci le projet de loi Gaillot tendant à l’extension du délai légal de l’IVG médicamenteuse de 12 à 14 semaines de grossesse, les défenseurs de la Vie auront à nouveau rendez-vous le dimanche 16 janvier prochain à Paris pour la Marche pour la Vie afin de dénoncer ces atteintes à la vie naissante et, particulièrement en cette année d’élections présidentielles cruciales, solliciter de nos gouvernants une véritable politique d’aide et d’accueil des femmes enceintes en difficulté.
Une nouvelle fois nous déplorons et condamnons fermement les résultats du vote de la loi Gaillot du 30 novembre dernier. Il est à parier toutefois, que la sottise des députés ayant voté favorablement ce texte au nom du droit des femmes devenu obstinément idéologique, risque de desservir cette cause.
La proposition de loi Gaillot sur le délai d’allongement de l’IVG à 14 semaines revient à l’Assemblée Nationale les 29 et 30 novembre prochains. Pourquoi une telle insistance ? Est-ce réellement une priorité ?
Evangelium Vitae Le livret des 30 ans
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