Communiqués & Actualités

Communiqués
Publiée par le pape Jean-Paul II en 1995, l’encyclique Evangelium Vitae est une boussole pour l’Eglise et pour notre monde. À l’occasion des trente ans de sa publication, l’association Choisir La Vie a estimé qu’il est aussi de son devoir d’en rappeler le contenu et la portée. "Affirmer aujourd’hui que cette encyclique, publiée en 1995, reste d’une brûlante actualité est un euphémisme. Ce texte n’est pas seulement actuel, il est prophétique."
Après avoir été étudiée en commission, la loi sur l’Aide à mourir a vu l’un de ses principe fondamentaux être ratifié par l’Assemblée nationale, le 17 mai dernier. Les députés ont en effet adopté l’article qui crée un « droit à l’aide à mourir », stipulant que le patient devra s’auto-administrer la substance létale, sauf en cas d’incapacité. L’ensemble du projet de loi doit être examiné le 27 mai prochain. La majorité des députés s’apprête donc à entériner la création d’un droit à exiger la mort, assorti de mesures fort peu contraignantes...
Dimanche 25 mai 2025, c’est la fête des mères mais c’est aussi, comme chaque année depuis 24 ans, la Journée nationale pour la Vie, demandée par Saint Jean Paul II et instituée par les évêques de France le jour de la fête des mères.
Comme chaque année, à l’approche du 28 septembre, à l’occasion de la Journée mondiale du droit à l’avortement, une vaste campagne de promotion de l’avortement sera une fois de plus organisée par un florilège d’associations qui, sous couvert d’offrir la liberté de choix aux femmes enceintes, nient leurs souffrances et les précipitent toujours plus vers un acte aux lourdes conséquences physiques et psychologiques : la suppression d’une vie humaine, celle de l’enfant qu’elles portent.
Alors que la France enregistre en 2022 son taux le plus élevé d’avortements depuis 30 ans avec plus de 234 000 IVG, alors que le parcours pour recourir à l’IVG a été de plus en plus simplifié depuis ces dernières années avec l’extension du délai légal de 12 à 14 semaines, la suppression du délai de réflexion, la suppression de la condition de détresse, on voudrait nous faire croire que le droit à l’avortement serait encore menacé en France ! Mais de qui se moque-t-on ?
C’est une nouvelle date à marquer d’une pierre noire, dans la chronologie mortifère du droit français à l’avortement. Le 30 janvier, l’Assemblée Nationale a approuvé en première lecture l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution française.
Alors que la plupart des français sont accaparés par les préparatifs de noël, Emmanuel Macron s’apprête à faire franchir à notre pays un grave tournant historique dont les conséquences seront sans précédent.
Huit années se sont écoulées depuis la publication de notre livret de 12 pages intitulé « L’avortement, une douloureuse réalité ». Depuis, six lois, décrets et mesures dérogatoires sont venus compléter un arsenal législatif mortifère, qui a fait plus de 9 millions de victimes en France en 48 ans.
Alors que les yeux du monde entier sont rivés sur la violence qui se déchaîne au Moyen-Orient et que la France panse encore les plaies de l’attaque terroriste d’Arras, c’est par la voie de Twitter, le 29 octobre dernier, qu’Emmanuel Macron a annoncé la présentation en conseil des ministres d’ici fi n 2023 d’un projet de loi qui inscrira dans la Constitution la liberté des femmes de recourir à l’interruption volontaire de grossesse.
Evangelium Vitae Le livret des 30 ans
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